Dossier

Exposition professionnelle, radon, démantèlement, vieillissement des centrales… Le dossier fait le point sur un thème : il informe sur les expertises, les avancées de la science, l’évolution de la réglementation et les partenariats.

Protéger les centrales des agressions externes

Canicules, tempêtes, inondations, séismes, mais aussi sabotages et autres malveillances sont autant d’agressions contre lesquelles les centrales nucléaires doivent être protégées. Comment ? L’IRSN veille à ce que les dispositions mises en œuvre par EDF garantissent un bon fonctionnement de la centrale ou sa mise en sûreté, quel que soit le scénario envisagé. Accéder au dossier complet

Risque radon : de nouvelles dispositions réglementaires

Gaz radioactif d’origine naturelle, le radon est classé cancérigène pulmonaire certain pour l’homme. Pour les nombreux travailleurs exposés, la prévention du risque doit être mis en place. La réglementation évolue avec la publication de nouveaux coefficients de dose. Un dossier fait le point sur la prévention dans et en dehors du monde du travail et sur l’avancée des connaissances. Accéder au dossier complet

Sûreté nucléaire : en quoi les études probabilistes sont-elles utiles ?

Centrale en fonctionnement, arrêt de tranche, défaillance d’un équipement, risque de rejets radioactifs, conception de nouveau réacteur… Les études probabilistes de sûreté sont utilisées tout au long de la vie d’une installation et en cas de crise nucléaire. À quoi servent-elles ? Comment sont-elles conçues et utilisées, et par qui ? Des éléments de réponse grâce à des articles, infographie et reportage. Accéder au dossier complet

Générateurs de vapeur : la sûreté de la fabrication à l’exploitation

Les générateurs de vapeur extraient la puissance calorifique du circuit primaire pour produire de l’électricité. Les tubes qui les constituent sont aussi une barrière de confinement des matières radioactives. Anomalies de composition de l’acier, risque d’usure et d’encrassement des tubes. Accéder au dossier complet

Cancer, radiothérapie : traiter sans nuire

En France métropolitaine, le nombre de nouveaux cas de cancer diagnostiqués est estimé à plus de 433 000 nouveaux cas en 2023. Utilisée dans le traitement contre ces cancers, la radiothérapie consiste à éradiquer la tumeur en l’irradiant. Si son efficacité est reconnue, elle peut entraîner, des complications pour le patient. L’IRSN s’efforce de mieux cerner l’évolution de ces séquelles et à les minimiser. 
Face à l’évolution rapide des technologies, l’avis de l’Institut est requis pour les expertiser. Ses scientifiques mènent des études épidémiologiques sur les effets secondaires de radiothérapie comme celle utilisée pour les tumeurs au cerveau. Ils proposent des évolutions de la réglementation, par exemple pour les niveaux de références diagnostiques. Ils contribuent à la prévention des cancers radio-induits. Accéder au dossier complet

Sûreté des colis de transport : évaluer leur robustesse intrinsèque

Près d’un million de colis chargés de substances radioactives sont convoyés chaque année en France. Des spécialistes de l’IRSN évaluent leur sûreté en vue de leur agrément pour un transport sur les voies publiques. Des épreuves sévères sont réalisées sur ces colis par les fabricants qui sont ensuite expertisées par l’Institut. Cette démarche est essentielle pour limiter l’exposition de la population et des travailleurs.
Pour le bon acheminement des matières nucléaires, une unité spécialisée de l’IRSN gère leur transport, assure un suivi opérationnel en temps réel et la logistique sur l’ensemble du trajet. En amont, ils instruisent le dossier des transporteurs et étudient les parcours. Accéder au dossier complet

Exposition professionnelle aux rayonnements ionisants : quelles sont les évolutions ?

Travailleurs du nucléaire, personnel navigant, médecin, chercheurs… plus de 387 000 professionnels bénéficient d’un suivi dosimétrique en France en 2020. 
L’Institut publie chaque année un bilan de cette surveillance. Ce bilan réalise une photographie des expositions, met en évidence des évolutions, identifie les activités à risque : l’exposition des cardiologues interventionnels, des dépassements de doses pour des transporteurs de médicaments radiopharmaceutiques… 
Ce dossier fait le point sur cette exposition professionnelle, relate la méthodologie utilisée par les experts pour élaborer cette photographie. Il décrit l’utilité des études épidémiologiques -menées sur certaines catégories de travailleurs- pour faire évoluer la réglementation. Accéder au dossier complet

Iode radioactif : quelles avancées scientifiques sur la prise d’iode stable ?

Un accident sur un réacteur nucléaire peut engendrer un rejet d’éléments radioactifs dans l’atmosphère contenant de l’iode radioactif. Respiré ou avalé, il se fixe sur la glande thyroïde. Il peut augmenter le risque de cancer de cet organe. L’augmentation de sa fréquence est estimée en 2018 à 25 % à la suite de l’accident de Tchernobyl.  
La prise de comprimés d’iode stable est l’une des mesures que peuvent prendre les autorités dans ce type de situation. Ce médicament va empêcher la thyroïde d'absorber l’iode radioactif rejeté dans l'environnement.
Quels sont les risques sanitaires liés à l’iode radioactif ? Comment protéger la thyroïde avec de l’iode stable ? Quelles sont les nouvelles connaissances scientifiques relatives à des prises répétées en cas de rejets durant plusieurs jours ? Accéder au dossier complet

Séismes : quelles sont les protections pour les installations nucléaires ?

La France n’est pas épargnée par les risques de tremblements de terre. Comment les installations nucléaires sont-elles protégées dans l’Hexagone ? Après la catastrophe de Fukushima au Japon, quelles sont les nouvelles dispositions prises par les exploitants ? Les experts de l’Institut évaluent régulièrement la résistance des installations aux risques sismiques. A la Hague, ils préconisent des calculs complémentaires qui conduisent à un renforcement du ferraillage des fondations. Accéder au dossier complet

Agressions naturelles : mieux protéger la source froide

L’eau est nécessaire au refroidissement des centrales nucléaires. La source froide* est essentielle pour la sûreté. Lors de la conception des réacteurs, les agressions naturelles possibles de la station de pompage ont été insuffisamment étudiées. La prise en compte par EDF des risques liés aux agressions naturelles résulte d’un dialogue de plusieurs décennies avec l’IRSN. Des incidents survenus en 2009 à la centrale de Chooz dans les Ardennes accélèrent les mises à niveau nécessaires. Par exemple des dispositifs comme des tambours filtrants et des dromes flottantes sont mis en place contre les risques liés aux colmatants végétaux. Les procédures de conduite, de gestion de crise et de surveillance des installations évoluent. L’exploitant assure désormais une veille environnementale. Accéder au dossier complet

La perte simultanée de sources froides

Les générateurs de vapeur extraient la puissance calorifique du circuit primaire pour produire de l’électricité. Les tubes qui les constituent sont aussi une barrière de confinement des matières radioactives. Anomalies de composition de l’acier, risque d’usure et d’encrassement des tubes... De la fabrication à leur exploitation, ils font l’objet d’un suivi. Les mener leurs expertises, les spécialistes se basent sur des résultats de recherche. C’est le cas par exemple de travaux menés sur le risque de corrosion des tubes. Pour comprendre le travail des experts, Repères est parti en reportage à l’occasion d’une de leur visite chez un industriel en Saône-et-Loire qui assemble des générateurs. Pour ces spécialistes en contrôles non destructifs, cette visite est utile pour connaître cet équipement et ses étapes de fabrication. Accéder au dossier complet